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Légèreté et livres de l’été en cette deuxième semaine de juin ? Pas du tout. Le Figaro, l’Huma et les suppléments livres de nos journaux sont formels, l’été sera destiné à des lectures sérieuses. Livres d’auteurs, essais, témoignages historiques, on s’éloigne du pavé pourtant pratique lorsqu’il s’agit de caler sa serviette.
LES UNES
Le Figaro littéraire résume à lui tout seul la tendance de la semaine « Et voilà qu’en 2022 les maisons d’édition se mettent à publier de la littérature en mai et en juin » C’est un changement relève Mohamed Aïssaoui, qui insiste sur l’opposition traditionnelle, septembre et janvier pour la littérature, juin pour les pavés de la plage, œuvres « légères ». Son article explore les raisons de cette évolution tout en s’interrogeant sur son caractère durable.
D’un côté le Covid qui a bouleversé la distribution des périodes traditionnelles, mais aussi comme le souligne Jean-Marc Levent, directeur commercial des éditions Grasset, parce que les rentrées littéraires « sont plus courtes et plus violentes. » En les publiant dans cette partie de l’année, les éditeurs donnent une chance accrue aux œuvres de rencontrer leur public. Le dossier rappelle donc qu’outre Céline ou Annie Ernaux (on est assez loin du pavé), d’autres titres méritent qu’on s’y intéresse, comme Baudelaire jazz de Patrick Chamoiseau ou l’étonnant Au commencement d’Antoine Audouard, « 500 pages sur les incipits et les auteurs qu’il adore. » publié chez Phébus.
L’Humanité suit à peu près le même sillon : avant de nous dire ce qu’il faudra lire de la rentrée prochaine, voici « neuf textes enthousiasmants, parus depuis le mois de janvier. » Une sélection des principales plumes, Sophie Joubert, Muriel Steinmetz et Alain Nicolas.
Et en une, un livre de Sophie Weverbergh chez Verticales. Un récit qui donne à revivre la charge mentale d’une mère de famille en surchauffe. Des ouvrages qui ne sont pas spécialement dévolus aux petits éditeurs mais qui n’ont pas non plus émergé de façon durable dans le flux de l’année.
C’est plus ou moins vrai d’Aby de Marie de Qutrebarbes qui a été chroniqué dans d’autres supports mais pour ce qui concerne Nicolas Combet , Laurine Thizy ou Julien Boutonnier la discrétion a été de mise. Il existe même un dixième titre, issu de la chronique de Jean-Claude Lebrun consacré au livre de Damien Lorton, L’incident et qui a pour héros un directeur d’Epad néophyte qui doit se confronter au « TO (taux d’occupation) et la DMS (durée moyenne de séjour, aux alentours de dix-neuf mois. Et, dans la conduite du groupe, outre le taux de profit, le LBO (leverage buy-out), qui permet à un fonds d’investir sans pratiquement bourse délier. » Comme le souligne le chroniqueur « Passé inaperçu, mais terriblement actuel »
Et encore, l’été en une du Monde des Livres ou, si l’on préfère, En été de Karl Ove Knausgaard. Florence Noiville nous explique que ce livre, exigeant également ou du moins surprenant, dernier volume d’une tétralogie consacrée aux saisons a été rédigé pour sortir des contraintes de l’écriture liées à Mon Combat ; « Etrange mélange entre Ponge et Lucrèce, cette ronde des saisons (…) Elle est aussi une méditation sur l’éphémère et la permanence. » D’où cette leçon, « la littérature est là pour nous signifier notre insignifiance ». Qu’on se rassure, il est aussi question de glaçons, moustiques, coccinelles, œufs à la coque, arroseurs automatiques.
Le travail de Laurent Joly consacré à la Rafle du Vel d’Hiv fait partie des livres cités dans le Figlitt comme étant plus importants que d’ordinaire à l’approche de l’été. Il est présent en une de La Croix cette semaine, avec un album de Cabu consacré au même sujet. Aude Carrasco nous apprend que Cabut (avec un t à l’époque) a reçu à 14 ans un prix du dessin dans le célèbre vélodrome. Il découvre plus tard la rafle, et en tire 16 planches d’un récit court qui retrace les moments les plus marquants de la tragédie. Une continuité d’engagement qui tient lieu d’hommage au dessinateur.
« Le roman a paru le 2 février 1922, jour du quarantième anniversaire de l’écrivain. Symbolique comme la date où il se déroule, le 16 juin 1904, le jour où James a rencontré Nora Barnacle, sa future épouse. » Frédérique Roussel s’est rendue à Dublin pour mieux comprendre l’engouement, toujours vivace, pour l’œuvre de Joyce un siècle après sa parution. Sur le roman lui-même, pas grand-chose de neuf, en revanche sur le lien à la ville, la critique met en évidence le caractère profondément dublinois du récit. La ville a institué un Blooms Day du nom de son héros, qui a fini par séduire les plus réticents, car il reflète au-delà de son aspect touristique, la simplicité réelle de l’œuvre dans son lien avec la ville et ses activités.
« Rester barbare, c’est une histoire tragique, parce que lorsqu’on s’intègre, il n’y a pas d’autre issue : il faut se nier. » C’est-ce que Luisa Yousfi répète à Marie-Eve Lacasse dans l’interview qu’elle accorde à LibéL ce jeudi. La journaliste y défend l’inassimilable qui reste en chacun de ceux qui sont « issus de l’immigration ». La part du barbare ce n’est pas celle d’un être sans langage mais celle d’un être dont on ne comprend pas le langage et, soutient l’autrice, c’est elle la plus importante et non la réussite de l’assimilation dans la perte de soi.
Portraits/Entretiens
Deux entretiens et un portrait cette semaine. Ce dernier pour Gabriela Cabezon Camara nouvelle figure des lettres argentines et au-delà de la littérature latino-américaine nous dit Ariane Singer dans le MDL ; « Quitter le rôle ou la place qui leur est assignée : Gabriela Cabezon Camara partage cela avec ses différents protagonistes, elle qui, ayant grandi dans un milieu prolétaire très conservateur, en est partie à 18 ans pour pouvoir vivre librement son homosexualité. » d’où un mélange des genres, « des registres et des niveaux de langue » en réécrivant Martin Fierro du point de vue d’une femme mariée de force à un gaucho (Les aventures de la China Iron).
Il y a donc l’entretien publié par LibéL sur la part du barbare, (voir plus haut) et, pour finir, celui que Karl Ove Knausgaard accorde à Florence Noiville. Beaucoup d’informations, sa fascination pour Ponge dont il essaie, sans y parvenir de retrouver la manière depuis ses 26 ans. Le fait de ne pas faire avec En été une œuvre radicalement différente. « Mais quand on le lit, eh bien… c’est toujours moi, toujours mon écriture. Je n’ai pas réussi à me soustraire à moi-même. », son rapport à la peinture avec Munch et encore sa manière d’écrire, rapide, sans réfléchir au projet. « Si l’on en est trop conscient on peut se dire que c’est fichu. » A méditer.
Le Figaro littéraire résume à lui tout seul la tendance de la semaine « Et voilà qu’en 2022 les maisons d’édition se mettent à publier de la littérature en mai et en juin » C’est un changement relève Mohamed Aïssaoui, qui insiste sur l’opposition traditionnelle, septembre et janvier pour la littérature, juin pour les pavés de la plage, œuvres « légères ». Son article explore les raisons de cette évolution tout en s’interrogeant sur son caractère durable.
D’un côté le Covid qui a bouleversé la distribution des périodes traditionnelles, mais aussi comme le souligne Jean-Marc Levent, directeur commercial des éditions Grasset, parce que les rentrées littéraires « sont plus courtes et plus violentes. » En les publiant dans cette partie de l’année, les éditeurs donnent une chance accrue aux œuvres de rencontrer leur public. Le dossier rappelle donc qu’outre Céline ou Annie Ernaux (on est assez loin du pavé), d’autres titres méritent qu’on s’y intéresse, comme Baudelaire jazz de Patrick Chamoiseau ou l’étonnant Au commencement d’Antoine Audouard, « 500 pages sur les incipits et les auteurs qu’il adore. » publié chez Phébus.
L’Humanité suit à peu près le même sillon : avant de nous dire ce qu’il faudra lire de la rentrée prochaine, voici « neuf textes enthousiasmants, parus depuis le mois de janvier. » Une sélection des principales plumes, Sophie Joubert, Muriel Steinmetz et Alain Nicolas.
Et en une, un livre de Sophie Weverbergh chez Verticales. Un récit qui donne à revivre la charge mentale d’une mère de famille en surchauffe. Des ouvrages qui ne sont pas spécialement dévolus aux petits éditeurs mais qui n’ont pas non plus émergé de façon durable dans le flux de l’année.
C’est plus ou moins vrai d’Aby de Marie de Qutrebarbes qui a été chroniqué dans d’autres supports mais pour ce qui concerne Nicolas Combet , Laurine Thizy ou Julien Boutonnier la discrétion a été de mise. Il existe même un dixième titre, issu de la chronique de Jean-Claude Lebrun consacré au livre de Damien Lorton, L’incident et qui a pour héros un directeur d’Epad néophyte qui doit se confronter au « TO (taux d’occupation) et la DMS (durée moyenne de séjour, aux alentours de dix-neuf mois. Et, dans la conduite du groupe, outre le taux de profit, le LBO (leverage buy-out), qui permet à un fonds d’investir sans pratiquement bourse délier. » Comme le souligne le chroniqueur « Passé inaperçu, mais terriblement actuel »
Et encore, l’été en une du Monde des Livres ou, si l’on préfère, En été de Karl Ove Knausgaard. Florence Noiville nous explique que ce livre, exigeant également ou du moins surprenant, dernier volume d’une tétralogie consacrée aux saisons a été rédigé pour sortir des contraintes de l’écriture liées à Mon Combat ; « Etrange mélange entre Ponge et Lucrèce, cette ronde des saisons (…) Elle est aussi une méditation sur l’éphémère et la permanence. » D’où cette leçon, « la littérature est là pour nous signifier notre insignifiance ». Qu’on se rassure, il est aussi question de glaçons, moustiques, coccinelles, œufs à la coque, arroseurs automatiques.
Le travail de Laurent Joly consacré à la Rafle du Vel d’Hiv fait partie des livres cités dans le Figlitt comme étant plus importants que d’ordinaire à l’approche de l’été. Il est présent en une de La Croix cette semaine, avec un album de Cabu consacré au même sujet. Aude Carrasco nous apprend que Cabut (avec un t à l’époque) a reçu à 14 ans un prix du dessin dans le célèbre vélodrome. Il découvre plus tard la rafle, et en tire 16 planches d’un récit court qui retrace les moments les plus marquants de la tragédie. Une continuité d’engagement qui tient lieu d’hommage au dessinateur.
« Le roman a paru le 2 février 1922, jour du quarantième anniversaire de l’écrivain. Symbolique comme la date où il se déroule, le 16 juin 1904, le jour où James a rencontré Nora Barnacle, sa future épouse. » Frédérique Roussel s’est rendue à Dublin pour mieux comprendre l’engouement, toujours vivace, pour l’œuvre de Joyce un siècle après sa parution. Sur le roman lui-même, pas grand-chose de neuf, en revanche sur le lien à la ville, la critique met en évidence le caractère profondément dublinois du récit. La ville a institué un Blooms Day du nom de son héros, qui a fini par séduire les plus réticents, car il reflète au-delà de son aspect touristique, la simplicité réelle de l’œuvre dans son lien avec la ville et ses activités.
« Rester barbare, c’est une histoire tragique, parce que lorsqu’on s’intègre, il n’y a pas d’autre issue : il faut se nier. » C’est-ce que Luisa Yousfi répète à Marie-Eve Lacasse dans l’interview qu’elle accorde à LibéL ce jeudi. La journaliste y défend l’inassimilable qui reste en chacun de ceux qui sont « issus de l’immigration ». La part du barbare ce n’est pas celle d’un être sans langage mais celle d’un être dont on ne comprend pas le langage et, soutient l’autrice, c’est elle la plus importante et non la réussite de l’assimilation dans la perte de soi.
Portraits/Entretiens
Deux entretiens et un portrait cette semaine. Ce dernier pour Gabriela Cabezon Camara nouvelle figure des lettres argentines et au-delà de la littérature latino-américaine nous dit Ariane Singer dans le MDL ; « Quitter le rôle ou la place qui leur est assignée : Gabriela Cabezon Camara partage cela avec ses différents protagonistes, elle qui, ayant grandi dans un milieu prolétaire très conservateur, en est partie à 18 ans pour pouvoir vivre librement son homosexualité. » d’où un mélange des genres, « des registres et des niveaux de langue » en réécrivant Martin Fierro du point de vue d’une femme mariée de force à un gaucho (Les aventures de la China Iron).
Il y a donc l’entretien publié par LibéL sur la part du barbare, (voir plus haut) et, pour finir, celui que Karl Ove Knausgaard accorde à Florence Noiville. Beaucoup d’informations, sa fascination pour Ponge dont il essaie, sans y parvenir de retrouver la manière depuis ses 26 ans. Le fait de ne pas faire avec En été une œuvre radicalement différente. « Mais quand on le lit, eh bien… c’est toujours moi, toujours mon écriture. Je n’ai pas réussi à me soustraire à moi-même. », son rapport à la peinture avec Munch et encore sa manière d’écrire, rapide, sans réfléchir au projet. « Si l’on en est trop conscient on peut se dire que c’est fichu. » A méditer.
A la semaine prochaine !
index des articles parus dans la presse de cette semaine
L’humanité | |||
Titre | Auteur | Editeur | N° Page |
Précipitations | Sophie Weverbergh | Verticales | 17 |
Partout le feu | Hélène Laurain | Verdier | 18 |
43 feuillets | Bruno Messina | Actes Sud | 18 |
Un monde de salauds souriants | Thomas Rosier | Actes Sud | 18 |
Les maisons vides | Laurine Thizy | l’Olivier | 18 |
Usufruit | Nicolas Combet | P.O.L | 18 |
Aby | Marie de Quatrebarbes | P.O.L | 19 |
Les os rêvent | Julien Boutonnier | Dernier Télégramme | 19 |
Cabane | Millie Duyé | Le Nouvel Attila | 19 |
L’incident | Damien Lorton | Editions Mutines | 21 |
Cyber-révolution et révolution sociale | Ivan Lavallée | Le temps des cerises | 20 |
Poétique d’une idole. Rêver Johnny | Jean-Pierre Suaudeau | Joca Seria | 21 |
Pour un monde meilleur | Daniel Paul | Le temps des cerises | 21 |
La langue française dans le monde 2019-2022 | Org internationale de la francophonie | Gallimard | 21 |
Amkoullel, l’enfant peul | Amadou Hampâta Bâ | Ateliers d’Actes Sud | 21 |
Résister à la corruption | Elise van Beneden Eric Alt | Gallimard « Tracts » | 21 |
Libération | |||
Titre | Auteur | Editeur | N° Page |
SAMEDI | |||
Ulysses | James Joyce | Vintage | 34&35 |
Revue Europe | Joyce/Ulysse | 34 | |
Beaucoup de jours. D’après Ulysse de Joyce | Philippe Forest | Gallimard | 35 |
Des souris et des hommes | John Steinbeck | Gallimard | 36 |
La cité en flammes | Don Winslow | Harper Collins Noir | 37 |
43 feuillets | Bruno Messina | Actes Sud | 37 |
Le monde des amants | Michel Surya | L’extrême contemporain | 38 |
In absentia | Raphaël Jerusalmy | Actes Sud | 38 |
Seul pour tuer Hitler | Jean-Baptiste Naudet | Ed Novices | 38 |
Alice au pays des femmes | Patricia Reznikov | Flammarion | 39 |
Encore un jour de pluie | Sarah Moss | Actes Sud | 39 |
Discours de réception de Michel Sureau à l’AF | Sureau & Zink | Gallimard | 39 |
L’interdit du meurtre | Kevin Capelli | Ed Apogée | 39 |
Et si l’Ukraine libérait la Russie | André Markowicz | Seuil « Libelle » | 39 |
Déplacer le silence | Etel Adnan | Editions de l’Attente | 39 |
L’intime étrangère | Anne Révah | Mercure de France | 40 |
JEUDI | |||
Rester barbare | Louisa Yousfi | La Fabrique | 24&25 |
Ecrits du silence. Mémoire d’une reine de Corée | Dame Hyeghyeong | Imago | 26 |
Bienvenue au XXIe siècle | Michel Winock | Thierry Marchaisse | 27 |
Récits et carnets de voyage | J-K Huysmans | Arthaud | 27 |
Le Figaro | |||
Titre | Auteur | Editeur | N° Page |
L’anachronique | Eric Holder | Le Dilettante | 1 |
Baudelaire Jazz | Patrick Chamoiseau | Seuil | 2 |
Utopia Avenue | David Mitchell | L’Olivier | 3 |
Entre toutes les femmes | John Mac Gahern | Sabine Wespieser | 3 |
Jack | Maryline Robinson | Actes Sud | 3 |
Le bec de canard | Gilbert Sinoué | Gallimard | 4 |
L’année sabbatique | Michael D. O’Brian | Salvator | 4 |
Là où le crépuscule s’unit à l’aube | Marina Dédéyan | Robert Laffont | 4 |
Journaux et lettres œuvres complètes III | Kafka | « Pléiade » | 5 |
Journaux et lettres œuvres complètes IV | Kafka | « Pléiade » | 5 |
Gorges Steiner, l’hôte importun | Nocco Ordine | Belles Lettres | 5 |
Tocqueville | Olivier Zunz | Fayard | 6 |
Benjamin Constant | Léonard Burnant | Perrin | 6 |
La république assassinée | Alexis lacroix | Cerf | 6 |
Les cantiques du corbeau | Barthabas | Gallimard | 7 |
Vent debout | Augereau-Jarry-Castel | Delcourt | 7 |
La rafle du Vel d’Hiv | Laurent Joly | Grasset | 7 |
La Croix | |||
Titre | Auteur | Editeur | N° Page |
La rafle du Vel d’Hiv | Laurent Joly | Grasset | 11 |
Cabu. La rafle du Vel d’Hiv | Cabu | Tallandier | 12 |
Les innocents | Mahir Guven | Grasset | 13 |
Le Fils de la veuve | Gil Adamson | Christian Bourgois | 13 |
Risques et dérives de la vie religieuse | Dysmas de Lassus | Cerf « Spiritualité Lexio » | 14 |
Passons sur l’autre rive | François Bustillo | Nouvelle Cité | 14 |
Le dico des mots extraordinaires | Revue Bulletin | 15 | |
Le Goût des mots | Françoise Héritier | Odile Jacob | 15 |
Stradivarius et la lutherie de Crémone | Jean-Philippe Echard | Philarmonie de Paris | 16 |
Toucher la peinture comme la peinture vous touche | Eugène Leroy | L’Atelier contemporain | 16 |
Vivre avec les animaux au Moyen-Âge | Chiara Frugoni | Les Belles lettres | 16 |
Art et médecine | Alexis Drahos | Citadelles et mazenod | 16 |
Le Monde | |||
Titre | Auteur | Editeur | N° Page |
En été | Karl Ove Knausgaard | Denoël « & d’ailleurs » | 1 |
interview de l’auteur | 2 | ||
Le site Russian Oppositional Art Review | ROAR | 3 | |
Le procès des rats | Charles Daubas | Gallimard | 4 |
Le soldat Ulysse | Antoine Billot | Gallimard | 4 |
La main gauche | Derek Munn | L’Ire des marges | 4 |
Qui verrait la terre de loin | Eric Pessan | Fayard | 4 |
Dissipatio HG | Guido Morcelli | Rivages | 5 |
Histoire des rois de Norvège TII. Olaf le Saint | Snorri Sturluson | Gallimard « L’aube des peuples » | 5 |
Les yeux de l’océan | Syaman Rapongan | L’Asiathèque | 5 |
L’obscurité est un lieu | Adriadna Castellarnau | L’Ogre | 5 |
La dialectique de la durée | Gaston Bachelard | PUF « Quadrige » | 6 |
L’armée du silence | Guillaume Pollack | Tallandier/Min des Armées | 6 |
L’Ethique litéraire et quatre autres conférences | Ralph Waldo Emerson | Les Belles lettres | 6 |
L’Ecole et l’écriture obligatoire | Anne-Marie Chartier | Retz | 6 |
Le dilemme de la gazelle | Denis Reale | Humenscience | 7 |
Qu’est-ce que lire? | Paul Mathias | Vrin. | 7 |
L’âge de la colère | Pankaj Mishra | Zulma « Essais » | 7 |
La femme à la jupe violette | Natsuko Imamura | Mercure de France | 8 |
Café Néon et autres îles | Jean-Christophe Bailly | Arléa Poche | 8 |
Contes grecs | E.T.A Hoffmann | Cambourakis | 8 |
Homère et la philologie classique | Friedrich Nietzsche | Les Belles lettres | 8 |
Panique générale | James Ellroy | Rivages « Noirs » | 9 |
Tambours debout | Gérard Macé | Le Temps qu’il fait | 9 |
Zone de crise | Simon hanselman | Dupuis/Seuil | 9 |
Tu as vu le visage de Dieu | Gabriela Cabezon Camara | L’Ogre | 10 |