Critiques littéraires du Monde

Gladys Marivat : Critique et journaliste littéraire aux journaux Lire (depuis 2017) et Le Monde (depuis 2015). Elle obtient son Master Journalisme à Science Po Toulouse puis entre à l’IJBA (École de Journalisme de Bordeaux) suivant l’option TV. Par la suite, elle devient chroniqueuse littéraire pour France 24, reporter radio pour Radio France. Au sein du journal Le Monde, elle est alors contributrice chez Lire Magazine où elle y présente des critiques, des entretiens et des enquêtes. 

 


 

Florent Georgesco : Journaliste littéraire et responsable adjoint au Monde des livres. En 2013, il fonde les Éditions Plein Jour auprès de la romancière Sybille Grimbert. Anciennement rédacteur en chef de la Revue Littéraire (2003 à 2012), il publiera une entrevue avec Gabriel Matzneff concernant la publication de son journal intime, Carnets noirs 2007-2008.


Florence Noiville : Journaliste, critique littéraire mais également écrivaine. Elle intègre HEC (école des hautes études commerciales de Paris) puis Sciences Po Paris où elle obtient une maîtrise de droit. Après quelques années dans la finance, elle s’oriente dans le journalisme et entre au journal Le Monde en 1994 en tant que critique littéraire. Après avoir été chef adjointe au Monde des livres, elle y est actuellement responsable de la littérature étrangère. Florence Noiville interviewe de nombreux écrivains dont Saul Bellow, Toni Morrison ou encore Nadine Gordimer. Ses portraits d’écrivains sont publiés dans Literary Miniatures et dans Écrire, c’est comme l’amour. Elle est l’auteure de quatre romans, qui mêlent littérature et neurosciences. 

 

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Jean Birnbaum : Journaliste français spécialisé dans l’actualité des idées. Il travaille pour le journal le Monde, mais également pour France Culture où il a collaboré à l’émission Staccato. Il réalisera également une série d’émissions consacrées aux trotskistes français. Auteur de l’ouvrage Un Silence religieux : La gauche face au djihadisme (2016), il avance que l’absence de réflexion de la gauche sur le religieux lui ôte la possibilité de comprendre le djihadisme. En 2009, il obtient le prix Montaigne de la Ville de Bordeaux pour son livre La Religion des Faibles.