D’un côté de la rue il y a le jardin du Luxembourg, verdure à la ville. Avec ses chaises modèles, son bassin, son kiosque à musique, ses arbres rangés soigneusement de chaque côté des allées, ses arbres visités, entretenus, étiquetés. Ses arbres contenus par des grilles. De l’autre côté, il y a la librairie José Corti où les arbres poursuivent leur vie sous forme de livres. Des livres dans lesquels il y a des arbres. Fabienne Raphoz nous présente la collection, Biophilia, à couverture verte, un projet ambitieux pour lequel Tout reste à faire.

Elle est récente et personnelle cette série, non ?

Le continent anglo-saxon, destruction et prise de conscience

Des éditeurs amateurs et encyclopédiques, une aventure